La question du meilleur glacier de Strasbourg revient dès que l’été approche ! Quels sont mes glaciers préférés à Strasbourg, où déguster des glaces et des sorbets de qualité ? Je n’ai évidemment pas testé toutes les adresses de la ville, et cette sélection reste subjective, mais vous avez peu de chances d’être déçus chez ces glaciers strasbourgeois.
Le Petit Glacier, mon préféré
J’ai testé une bonne dizaine de fois ce glacier familial, installé rue d’Austerlitz et rue Gutenberg, sans jamais être déçue. Leurs coupes glacées, toutes délicieuses et énormes, valent le détour, en particulier celles aux fruits car elles sont préparées minute. La Hawaï par exemple (sorbets passion et mangue, glace coco, melon, coulis de mangue et chantilly) a beaucoup de succès ! Vous pouvez aussi composer votre propre coupe, avec 2 à 6 boules de glace au choix. La terrasse est grande, à l’ombre, et si vous n’êtes pas très glaces, le Petit Glacier propose d’autres gourmandises comme des crêpes ou de la tarte maison. Petit plus : le personnel est vraiment adorable.
J’ai aimé
- La qualité des coupes de glaces
- La gentillesse du personnel
J’ai moins aimé
- Rien
Infos pratiques
Horaires
Retrouvez les horaires du Petit Glacier sur leur site web.
Accès
3 rue d’Austerlitz et 1 rue Gutenberg à Strasbourg
Toscani, l’original
Si vous avez envie d’originalité, c’est à Toscani qu’il faut aller. Ce petit glacier situé dans la jolie ruelle de la Lanterne, en centre-ville, propose régulièrement des parfums nouveaux ou originaux : avocat, cactus, poire cannelle, verveine, gingembre, rose… Si vous n’aimez pas tester ce genre de glaces, les grands classiques sont aussi à la carte ! Pas de coupe glacées ici : Toscani n’a pas de terrasse, il faudra forcément prendre un cornet ou un pot à emporter.
J’ai aimé
- Les parfums originaux
J’ai moins aimé
- Pas de terrasse pour se poser :-/
Infos pratiques
Horaires
Retrouvez les horaires de Toscani sur leur page Facebook.
Accès
4 rue de la Lanterne à Strasbourg
Franchi, la diversité des parfums
A Strasbourg, Franchi est une institution. L’entreprise familiale a été créée par l’italien Joseph Franchi dans les années 30 et possède maintenant quatre boutiques à Strasbourg, un point de vente à Obernai et deux restaurants. Pour les petits plaisirs, choisissez de la glace en cornet parmi les 50 parfums proposés, des classiques aux plus originaux (After Eight, Schtroumpf, ). Si vous êtes d’humeur gourmande, osez les coupes glacées. Leur prix peut paraître élevé (6 à 10€50) mais c’est presque un repas à part entière !
Dans mes préférées, la Grenobloise (glaces vanille, pistache, caramel et stracciatella, chantilly, noix et miel) et la Tout Chocolat mais il y en a beaucoup avec des fruits frais. Franchi confectionne aussi des desserts glacés et vend des bacs de glace à emporter mais je n’ai jamais eu l’occasion de tester. Seul bémol : ce glacier est pris d’assaut en été, que ce soit pour la vente à emporter ou pour une place en terrasse.
J’ai aimé
- La grande variété de parfums
J’ai moins aimé
- Le glacier est pris d’assaut en été!
Infos pratiques
Horaires
Retrouvez les horaires de Franchi sur leur page Facebook.
Accès
5 rue des Francs-Bourgeois à Strasbourg
Christian, le classique
Tous les étés, la pâtisserie Christian sort son stand de glaces fait-maison au pied de la cathédrale. Qu’il s’agisse des glaces (chocolat, vanille, café…) ou de sorbets (framboise, pêche, melon, coco…), c’est un vrai régal ! N’hésitez pas à tester les parfums typiques d’Alsace : mirabelle, géranium, fromage blanc et mûre sauvage. Pour la dégustation, je vous conseille de marcher quelques mètres pour rejoindre la place du Château et profiter de votre glace en admirant la cathédrale.
J’ai aimé
- Glaces et sorbets de qualité
J’ai moins aimé
- Vente uniquement à emporter
Infos pratiques
Horaires
Retrouvez les horaires de Christian sur leur site web.
Accès
10 rue Mercière ou 12 rue de l’Outre à Strasbourg
Et vous, quels sont vos glaciers préférés à Strasbourg ? N’hésitez pas à partager vos suggestions pour enrichir l’article !
C’est très tentant tout cela !
N’est ce pas?